Vasko a toujours pensé que le vide chez les autres est beaucoup mieux rempli que chez lui, et aussi plus harmonieux. Il a dès lors cherché tout son bout de vie à contredire cette pensée.

Il fit ses premières armes à l’adolescence, sur les murs de sa ville et des environs. Son nom d’artiste lui vient d’ailleurs de cette période, ASKO, auquel il précède un « V » quelques années plus tard.

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En même temps il débuta une formation dans les arts graphiques à l’Atelier Jean Genoud, maître imprimeur à Lausanne et spécialiste dans l’édition de livres d’arts. Ce métier pratiqué une dizaine d’année contribua à lui donner le goût du beau : typos, papiers, reproductions.

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Après plusieurs années d’errance artistiques, s’essayant dans différents domaines, il revient aux arts graphiques / plastiques dès 2012.

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Toujours dans l’urgence, il s’exprime tant dans la peinture que dans la recherche photographique. Dans son travail, Vasko utilise régulièrement les transferts et les répétions, de manière réfléchie et construite ou dans des gestes plus impulsifs. Cela est notamment visible dans sa série de peinture « Acouphenia » où il tente de mettre en scène ses acouphènes, avec pour but de les apprivoiser et de mieux les comprendre afin de se les faire paraître moins terrifiant.

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Il expose régulièrement son travail depuis 2014, tout en exerçant  en parallèle son métier de travailleur social.